Du livreur au CEO, du studio photo aux vignes de Champagne, en très gros plan ou en pied… quelles que soient les contraintes, le portrait n’obéit qu’à une seule règle : mettre tout en œuvre pour faire rayonner le sujet.
« Mettre en confiance, savoir rassurer durant un tête à tête en studio ou se fondre dans le paysage lors d’un reportage, c’est la clé d’un portrait qui dégage la bonne expression, celle que l’on attend ou celle qui change tout. »
Philippe Dureuil, Ouvrier de l’Image.
En reportage, avec la lumière naturelle ou dans le cadre maitrisé d’un studio, mobile ou on non, Philippe Dureuil sait s’adapter pour obtenir le meilleur des modèles.
« Quand j’ai reçu ses photos, j’étais content de constater qu’il accorde autant de place à l’homme qu’à la machine ou aux produits : ses images sont très équilibrées. Et puis, il travaille sans se prendre la tête, sans perturber le travail des employés. Ça, c’est très important, de mon point de vue. Et, non seulement il ne se prend pas la tête, mais surtout il ne nous prend pas la tête non plus ! »
Éric Joan, CEO du groupe Hamelin qui détient les marques Oxford et Elba.
Le portrait dépends toujours de multiples facteurs techniques liés à la lumière, l’atmosphère, l’environnement… Mais celui qui est le plus complexe à maîtriser et de loin le plus difficile, c’est le sujet.